Revue de presse

Autres revues de presse dans les versions allemandes et anglaises de cette page.

Christoph Keller en soliste

Or le recital entier est conduit par une splendide interiorité, un art du pianissimo à la limite du silence. Christoph Keller se meut dans un tissu sonore d'une richesse et d'une clarté sans faiblesse. Sa Sonate en sol de Schubert (1826) est un miracle de communication où la douceur n' est pas suavité, ou la simplicité des coloris voile délicatement les plus profondes angoisses. Keller réinvente chaque moment avec subtilité. La grace ne manque pas: son interprétation abonde en tresors discrets.

Tribune de Genève

…la Sonate I.X.1905 de Janacek, frémissante sous les doigts de Keller.

La Suisse

Sans doute un tel disque ne serait-il rien sans une interprétation de premier plan. Or Christoph Keller, que l'on connaissait déjà par un récital Eisler, restitue cette musique de Thalberg le mieux du monde, avec goût et sens des nuances, sans la moindre trace de mièvrerie.

Harmonie

D'une écoute aisée, la musique de Kœchlin est des plus délicats à jouer. L'équilibre des sonorités en est primordial. Christoph Keller, à qui ces pages sont familières, en apparaît comme l'interprète idéal.

Diapason

…Christoph Keller, musicien érudit que le savoir n'a pas asséché

Répertoire des disques compacts

Christoph Keller mêle avec bonheur le gai savoir de l'érudit à l'instinct de l'artiste. Il interprète chaque pièce avec le sens aigu du moment où elle se place, sans lui imposer la fausse perspective de celui qui connaît déjà la suite. Sa main est ferme et tendre.

Répertoire des disques compacts

Passioné par la musique d'Eisler, il lui rend ici un superbe hommage: son jeu a la clarté d'une lecture orchestrale, son toucher est chaleureux et profond, les rythmes les plus variés sont rendus avec une grande precision. Du très beau piano pour de la très belle musique: ce disque a vraiment tout pour plaire!

Le Monde de la Musique

Christoph Keller en musicien de chambre et accompagnateur au piano

Avec Christoph Keller au piano et Christoph Schiller à l'alto, la Sonate de Kœchlin atteint sa vérité expressive et sa grandeur, et l'ensemble instrumental auquel sont confiés les Paysages et Marines fait preuve de toute la finesse nécessaire.

Diapason

Robert Zimansky (violon), Christoph Schiller (alto) et Christoph Keller (piano), à qui l'on doit un remarquable enregistrement de la musique de chambre d'Albéric Magnard, chez Accord, n'ont certes pas déçu un public que l'austérité apparente du programme, loin de décourager, attirait: la Sonate pour piano et alto op.53 et l'Ancienne maison de campagne de Charles Kœchlin, la Sonate pour violon et piano n°2 de Darius Milhaud et le Trio pour violon, alto et piano de Charles Migot. Les qualités techniques des intérprètes étant au-dessus de toute discussion, j'ai particulièrement apprécié, à cet égard, leur fidélité au style de cette musique de chambre française, romantique mais pudique, innovatrice sans ostentation, savante et directe à la fois.

La lettre du musicien, Paris

Dans ce Duo, toutes les belles qualités de Berwald sont exaltées par l'équipe Zimansky-Keller, qui, après ses succès admirables dans Magnard et Schumann, n'a plus à faire ses preuves.

Compact

Le duo Zimansky-Keller nous est connu pour son très bel enregistrement de la Sonate de Magnard. Les deux admirables musiciens suisses ne nous décoivent pas ici, car l'ardent romantisme de Schumann leur convient parfaitement, et ils savent en compenser les excès (toujours périlleux pour l'équilibre de l'ensemble) par un sens aigu de la contradiction qui n'ôte rien à leur chaleureuse spontanéité.

Compact

…et puis le piano de Christoph Keller fait mieux que soutenir les chanteurs. C'est lui qu'on écoute le plus volontiers.

Diapason

 

© 2009 Christoph Keller. Tous droits réservés.